Les penchants autoritaires de Claude François

Les penchants autoritaires de Claude François

En 2018 beaucoup de grands noms nous ont quittés. Mais s’il y a en a un qui continue de passionner les Français, c’est Claude François. Et depuis la mort du chanteur mort à l’âge de 39 ans, les révélations fusent concernant celui qui a un temps été avec France Gall.

En 2018 beaucoup de grands noms nous ont quittés. Mais s’il y a en a un qui continue de passionner les Français, c’est Claude François. Et depuis la mort du chanteur mort à l’âge de 39 ans, les révélations fusent concernant celui qui a un temps été avec France Gall.

Réputé pour être un sacré charmeur, CloClo aurait laissé derrière lui plusieurs enfants cachés. À commencer par celle qui a récemment refait surface, Julie Bocquet, une Belge de 41 ans. Mais si le chanteur était aussi réputé pour ses caprices. En témoignent les notes quotidiennes qu’il adressait à son personnel, et dont la presse vient de dévoiler quelques extraits.

Anciennement à la tête de Podium, chef de sa propre maison de disques (Flèche Productions) mais aussi photographe à ses heures perdues, Claude François avait regroupé ses multiples activités sous une même enseigne, le « Groupe Claude François ». Et l’interprète de Magnolia avait une fâcheuse tendance à vouloir tout vouloir contrôler. À l’aide de feuilles de papier siglées du logo de son entreprise, le chanteur né en Égypte laissait des montagnes de notes à son personnel. À son chauffeur, Gérard, il imposait ainsi une conduite très précise. « J’aimerais que tu ne touches plus au rétroviseur intérieur aussi bien qu’extérieur. Tu dois t’efforcer d’adopter ma conduite, même si nos jambes n’ont pas la même longueur, elles n’auront de toute façon jamais la même longueur », lui avait-il écrit.

Et Gérard le chauffeur est loin d’être le seul à avoir fait les soufferts des exigences du chanteur. Les Claudettes, elles aussi, avaient régulièrement le droit à leurs sermons. Dans une note dévoilée où il demandait à ce que dix francs (1,50 euro) soient retenus sur les salaires de ses danseuses, lorsque celles-ci perdaient un cintre lors d’une représentation. «  Comme ça elles feront plus attention. Et toutes les choses qu’elles perdront, elles les rembourseront », autoritaire le CloClo ? Pas du tout…