Annecy: prison avec sursis pour un chagrin d’amour

La quinquagénaire n’ayant pas supporté sa rupture avec son compagnon, a passé près de 750 appels sur les téléphones professionnels et personnels de cet homme.

En août dernier, les gendarmes avaient dû intervenir lorsqu’elle avait décidé de se poster devant le domicile de son ex-compagnon pour lui partager ses sentiments. Ce n’est pas la première fois que la prévenue a recours aux appels abusifs. Le tribunal l’a condamnée à 3 mois de prison avec sursis.