Et ce, après les menaces de mort reçues par Justine Braisaz-Bouchet et sa famille, dans un contexte faisant suite à l’affaire impliquant Julia Simon, récemment condamnée pour avoir escroqué la biathlète savoyarde.
Dans un communiqué, la FFS dit condamner "avec la plus grande fermeté toute forme de violence ou de harcèlement", rappelant que ces comportements "n’ont leur place ni dans le sport, ni dans la société". L’instance fédérale exprime également son plein soutien à Justine Braisaz-Bouchet et à ses proches, affirmant se tenir à leurs côtés "pour faire face à ces actes inqualifiables".
La fédération insiste sur le fait qu’"aucune atteinte à la probité, au respect mutuel ou à la sécurité psychologique du collectif ne saurait être tolérée". Elle souligne que la protection des athlètes, mais aussi des staffs techniques et médicaux, constitue une priorité, tout comme la préservation d’un climat de confiance au sein des équipes de France.
Originaire de Savoie et figure majeure du biathlon français, Justine Braisaz-Bouchet bénéficie ainsi d’un soutien institutionnel clair face à des faits que la Fédération qualifie sans ambiguïté. La FFS rappelle enfin que la sécurité et le respect des personnes engagées sous ses couleurs demeurent un principe fondamental de son action.







