L'appel téléphonique a eu lieu aux alentours de 10h30. Aussitôt, l'alerte a été déclenchée dans l'établissement qui a été évacuée. Certains élèves sont rentrés chez eux tandis que d'autres ont été confinés à l'intérieur du lycée.
Pendant plusieurs heures, les gendarmes et un chien renifleur ont fouillé le lycée sans rien trouver. La fausse alerte a été confirmée et une enquête a été ouverte pour déterminer l'origine de cet appel malveillant.
La gendarmerie rappelle que les fausses alertes sont sévèrement punies : jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.







