Six de ses bêtes, cinq brebis et un agneau, avaient été attaqués et égorgés. Leurs corps gisaient dans un ruisseau le long du champ clôturé où ils avaient passé la nuit.
Selon le Dauphiné Libéré, la sauvagerie du carnage laisse à penser à une attaque de loup ou d'un chien errant. La première hypothèse est celle mise en avant par l'éleveur.
L'Office française de la biodiversité va désormais prendre le relais pour analyser les cadavres des ovins tués et tenter de déterminer l'animal qui les a tués.







